Du 2 au 5 avril : 1 semaine d’essai gratuite, sans engagement dans nos 250 m2 d’espace de coworking !

Bien-être des salariés : dire oui au sport !

Bien-être des salariés : dire oui au sport !

À l’occasion du premier cours de sport à Bel Air Camp avec ChaudPatate, nous avons décidé de consacrer un article à cette pratique dans le milieu professionnel : le sport, c’est la santé ! 

L’adage est connu, mais la pratique en entreprise reste encore faible.43% des Français pratiquent un sport, dont 13% sur leur lieu de travail selon une étude du conseil d’analyse stratégique. Pourtant, il existe de nombreux bénéfices à cette pratique qui favorise le bien-être des salariés et donc, le bien-être des entreprises à long terme.  On vous en dit plus… Au cinquième siècle avant J.C, les grecs étaient persuadés que l’intelligence ne venait qu’avec une pratique physique vigoureuse favorisant un corps sain et en bonne santé. Socrate affirmait alors que la perte de la mémoire (et même la folie) était due à une mauvaise condition physique (tout s’explique) !  Les entreprises seraient pourtant gagnantes à intégrer la pratique dans l’entreprise. Vous avez bien entendu, le sport détient de nombreux bénéfices, alors dépoussiérez vos baskets !

Lutter contre l’absentéisme

L’encouragement des entreprises à la pratique du sport a un impact positif sur l’absentéisme des employés. En Grande-Bretagne, une entreprise encourage ses salariés, et l’absentéisme a reculé de 30% à 40%.

Favoriser la cohésion

Il a également une vertu sociale, permettant aux salariés de mieux s’intégrer dans l’entreprise et de tisser des liens. Ils permettent de fédérer les équipes et de les souder. Les liens tissés durant les séances peuvent par la suite être utilisés au niveau professionnel. Ceci pour une meilleure synergie au sein de l’entreprise, d’après Julien Pierre et Isabelle Barth dans « Un esprit sain dans un corps sain : promouvoir le sport au travail ». Également, cette pratique lève le voile sur les personnalités diverses des salariés. Votre collègue est timide, mais sur le terrain, il laisse entrevoir un fort esprit de leadership ? Le sport permet de découvrir le potentiel de chacun et de l’utiliser pour le bien-être de l’entreprise.

Améliore le bien-être physique et mental

La première cause d’arrêt maladie dans une entreprise est liée aux TMS (troubles musculo-squelettiques). Avec le sport, ces troubles peuvent-être atténués.  De plus, il permet de libérer le stress et les tensions accumulées. Les salariés retournent donc travailler l’esprit frais et clairvoyant. Selon une étude du cabinet Goodwill management, le sport améliore la productivité d’un salarié de 6 à 9%. Au niveau du bien-être mental, le cerveau libère des hormones aux vertus apaisantes avec la pratique du sport. L’activité physique est donc l’occasion de se défouler et de prendre du recul surtout dans le cadre professionnel.

Impact économique 

Plus globalement, une pratique régulière améliore à moyen et long terme la productivité des salariés et donc le développement économique de l’entreprise. Cette pratique améliore la rentabilité des entreprises entre 4% et 14%, toujours selon le cabinet Goodwill Management. Décision prise, on organise des sessions entre collègues ! Pour qu’une entreprise soit en bonne santé, il faut d’abord que ceux qui la composent le soi. 

Doctibike : redonner vie à votre batterie de vélo

Doctibike : redonner vie à votre batterie de vélo

Cette semaine, coup de projecteur sur Doctibike. Installé à Bel Air Camp depuis près d’un an, cette startup lyonnaise s’est spécialisée dans la vente, le reconditionnement et le recyclage de batteries de vélos électriques. Rencontre avec Anne-Sophie Caistiker, sa fondatrice, pour qui l’avenir de la mobilité en France passe forcément par le vélo électrique.

Startup doctibike

« Il y a 4 ans, quand j’ai démarré l’aventure Doctibike, le vélo électrique avait cette réputation de vélo de feignant. Aujourd’hui, il est devenu un vrai outil de mobilité. » L’histoire de Doctibike est exemplaire de ces startups qui ont senti, bien avant tout le monde, l’essor d’un nouvel usage. Tout juste diplômée de son école de commerce, Anne-Sophie Caistiker choisit le chemin de l’entrepreneuriat. Dans son salon, elle lance la première version de Doctibike, un site e-commerce de vélos électriques. « Je baignais déjà dans cet univers grâce à mon père qui a longtemps été chef d’entreprise dans l’import/export de pièces détachées de vélos ». Sensible aux questions environnementales, Anne-Sophie pressent le succès du vélo à assistance électrique au niveau de l’hexagone. « Nous avons beaucoup de retard par rapport à des pays comme l’Allemagne mais les ventes ne cessent de progresser. » s’enthousiasme la jeune femme, aujourd’hui à la tête d’une équipe de 9 personnes.

« Il y a 4 ans, quand j’ai démarré l’aventure Doctibike, le vélo électrique avait cette réputation de vélo de feignant. Aujourd’hui, il est devenu un vrai outil de mobilité. » L’histoire de Doctibike est exemplaire de ces startups qui ont senti, bien avant tout le monde, l’essor d’un nouvel usage. Tout juste diplômée de son école de commerce, Anne-Sophie Caistiker choisit le chemin de l’entrepreneuriat. Dans son salon, elle lance la première version de Doctibike, un site e-commerce de vélos électriques. « Je baignais déjà dans cet univers grâce à mon père qui a longtemps été chef d’entreprise dans l’import/export de pièces détachées de vélos ». Sensible aux questions environnementales, Anne-Sophie pressent le succès du vélo à assistance électrique au niveau de l’hexagone. « Nous avons beaucoup de retard par rapport à des pays comme l’Allemagne mais les ventes ne cessent de progresser. » s’enthousiasme la jeune femme, aujourd’hui à la tête d’une équipe de 9 personnes.

L’expert de la batterie électrique

Un an après le lancement de son site e-commerce, elle remarque que de plus en plus de clients la sollicitent pour changer ou réparer leur batterie électrique. Rejoint par Pierre, son conjoint, alors ingénieur chez Renault Trucks, elle décide de réaliser un pivot stratégique fin 2015 pour se concentrer sur son business actuel : la remise à neuf des batteries. « En 2 ans, nous nous sommes positionnés comme l’intermédiaire n°1 entre les fabricants et les vendeurs de vélos. », explique Anne-Sophie.

Consciente que l’accompagnement est l’une des clés de la réussite des entreprises, elle rejoint l’incubateur de l’EM Lyon et réalise sa première levée de fond en 2017. « 2017 a été l’année de l’organisation. Nous avons recruté. Et nous nous sommes installés à Bel Air Camp ! 2018 est l’année où l’on va gérer la croissance et sécuriser l’entreprise. », poursuit la jeune dirigeante qui se voit très vite dépasser les frontières de la France.

L’international comme idéal !

« A 12 ans, j’ai eu la chance de visiter une usine de fabrication de vélos en Chine, j’ai adoré ça ! » Pas question pour elle de se limiter au marché français.Un déploiement à l’international est prévu pour 2019. Toujours en lice pour remporter le Big Booster (un programme d’accompagnement à l’international), Doctibike.com espère bien rafler la première place avec, à la clé, un voyage à Boston, Shenzhen et Casablanca. « Je suis convaincue que plus les chefs d’entreprises se feront accompagnés, plus il y aura de licornes en France. », confie cette passionnée de langues étrangères.

L’industrie qui se conjugue au féminin ! 

Elue « femme au début prometteur » aux trophées des Femmes de l’Industrie en 2016, Anne-Sophie n’avait pas imaginé démarré sa carrière dans le secteur du vélo électrique. « J’ai longtemps étudié le chant lyrique au conservatoire. Je voulais en faire mon métier. Mais une fois à l’université, j’ai croisé pas mal de prof aigris. Je voulais vraiment que la musique reste une passion, du coup, j’ai préféré arrêter. » À 27 ans, cette native de Lyon ne se voit pas faire autre chose. « Bien sûr, il y a des moments difficiles où le moral n’est pas au beau fixe. Mais ce sont des phases. Il faut aussi apprendre à couper de temps en temps. Le weekend, on voit la famille, les amis. C’est un vrai sas de décompression pour tenir la distance ! ». Si vous pensez acheter un vélo électrique cette année, vous savez désormais qu’une super team travaille à Villeurbanne pour que votre prochaine batterie ne devienne pas un « déchet » potentiel pour la planète ! 

Meersens : un objet connecté pour préserver votre santé

Meersens : un objet connecté pour préserver votre santé

Récemment installée à Bel Air Camp, Meersens développe un objet connecté mesurant l’environnement qui a un impact direct sur votre santé. Fondée par 2 ingénieurs de l’institut polytechnique de Grenoble, la startup prévoit de lancer la commercialisation de son prototype fin 2018.

Meersens : gardien de votre santé - Louis Stockreisser, Julie Fessy et Morane Rey-Huet, l'équipe de Meersens

Permettre aux gens de reprendre le contrôle sur ce qu’ils respirent, mangent et boivent : voilà la mission que Morane Rey-Huet et Louis Stockreisser se sont fixés.  Mais pas question pour autant de créer un objet connecté anxiogène. « Nous voulons simplement répondre à une prise de conscience collective et peut-être, éviter, à termes, des scandales sanitaires. », explique Louis. Le lait pour bébé : point de départ de l’histoire de Meersens. En 2008, Morane, vit en Chine avec sa famille. Il fait face au scandale du lait contaminé à la mélamine qui conduira au décès de 4 nourrissons.  Avec plus de 15 ans d’expériences à l’étranger dans des grands groupes comme Pfizer Schneider et Aldes, ce breton d’origine a toujours souhaité passer d’intrapreneur à entrepreneur. Il commence alors à imaginer une solution modulaire et nomade avec des capteurs pour analyser l’environnement immédiat comme l’air, l’eau, la nourriture qui peut avoir un impact sur la santé des consommateurs. De son côté, Louis entame une carrière d’ingénieur informatique dans une SSII. En parallèle de son activité de salarié, il monte plusieurs startups. « J’ai attrapé le virus de l’entrepreneuriat il y a 3 ans. ». Il co-fonde Wechain  et Attractive House, 2 projets prometteurs mais pour lesquels il n’ose pas se lancer à 100 %.

Une rencontre à l’origine

C’est sa rencontre avec Morane et le projet Meersens qui aura raison de son statut de salarié. « C’était un projet dans lequel je sentais que je pouvais faire quelque chose d’utile. Sans parler du défi technologique ! »  Louis se frotte pour la première fois à l’internet des objets. Ainsi qu’au secteur de la santé.  « Grâce au réseau et à l’expérience de Morane, tout a été très vite. » Leur premier prototype fonctionnel est réalisé en moins de 4 mois.  Il permet de mesurer 3 éléments : les UV, la pollution de l’air et les ondes magnétiques. « À termes, nous aurons aussi un capteur pour le gluten et pour l’eau. »

Une sentinelle pour tester l’environnement direct

Plus qu’un énième objet connecté, le duo d’ingénieurs veut faire de Meersens une véritable plateforme communautaire avec une base d’informations totalement indépendante. Au-delà de son système de mesure, leur produit permettra d’offrir à ses utilisateurs des solutions. « La communauté poussera des solutions qui seront validées par la communauté. Meersens réalisera ensuite des tests indépendants. » Pensé pour les femmes enceintes, les parents, les personnes allergiques, asthmatiques ou bien encore les personnes âgées, cet objet « sentinelle » (Meersens vient du mot meerkat, suricate en français, ce petit animal surnommé « sentinelle du désert ») sera vendu à un prix très accessible.  Les capteurs, à usage unique ou réutilisables, pourront être commandés directement via leur site web ou/et Apps.

Avancer en toute humilité 

Heureux à Lyon, Louis estime qu’il n’y a pas besoin de partir pour réussir. « Le terreau régional est parfait pour l’innovation. Un jour, nous ouvrirons des bureaux en Amérique du Nord mais pour le moment, nous n’avons aucune raison de déménager. » Papa dans un mois, le jeune entrepreneur sait que 2018 sera une année charnière. Campagne de crowfunding, amélioration de leur prototype, nouvelle levée de fond, lancement de la pré-série… Après un passage remarqué au dernier CES de Las Vegas, l’aventure Meersens ne fait que commencer !